SÂ’il y avait un concours de la pétasse à bites numéro 1, la jeune fille blonde de cette séquence serait probablement sur le podium. Son regard est un concentré de salopitude pas très subtile mais ô combien lubrique, ce que confirme sa grande bouche de pompeuse. Elle nous montre rapidement le reste : ses petits nichons en liberté sous son pull rose, et sous sa mini-mini jupette, une croupe qui appelle la levrette. La cochonne sÂ’est tellement auto-excitée quÂ’elle va vite retrouver son copain au salon et lui suce la queue comme si sa vie en dépendait ; après quoi cÂ’est elle qui se fait longuement bouffer chatte et cul, et avec des fesses pareilles ça se comprend. Quand elle dégouline dÂ’envie, son mec lÂ’embroche sur son gros dard dressé et lÂ’empale jusquÂ’aux couilles. Ensuite, il la retourne comme une crêpe et lui bourrine la chatte dans diverses positions et bien entendu en levrette, pour voir son beau cul aller et venir. La salope en glapit de plaisir mêlé de douleur, et se prend pour finir une belle giclée de semence chaude sur son ventre lisse.
Une vraie cochonne est rarement symétrique. Jay, la jeune et grande brune de cette scène, en est un bon exemple. Sa minceur nÂ’est pas synonyme dÂ’étroitesse aux endroits utiles, bien au contraire. La salope a une grande bouche, une chatte bien souple et un trou du cul qui raffole des gros calibres. Et elle va être servie. Voilà un premier partenaire qui approche, la pine au garde-à-vous, et notre ogresse sÂ’empresse de se la fourrer dans la bouche et de pomper comme une gloutonne cet engin pourtant bien trop gros qui lui frappe la glotte. En voilà une deuxième qui se pointe et sans hésiter, Jay se dédouble et pompe les deux bites tour à tour puis ensemble. Mais ce quÂ’attend cette affamée de la queue, cÂ’est de sÂ’en prendre deux dans les orifices en simultané. Un bon sandwich avec un gourdin dans chaque trou et elle en glousse de joie, la chatte déchirée, le cul totalement défoncé. Le diamètre ne fait rien à lÂ’affaire, quand on est salope, on est salope !
Elle sÂ’appelle Mia, on ne sait pas si elle danse, mais on voit facilement que cÂ’est une salope hors-catégorie. Regard de salope, bouche de suceuse, gros nichons lourds, cul dÂ’impératrice. Le modèle parfait quÂ’on retourne sur la table de la cuisine pour lÂ’enculer direct. Mais pour cette séquence, notre cochonne en chef préfère un canapé et deux étalons membrés modèle démonte-pneu. Agenouillée entre les deux, elle suce comme une gloutonne, avalant jusquÂ’aux burnes une bite, puis lÂ’autre, puis les deux ensemble cÂ’est encore meilleur. Une fois prête, elle joue dÂ’abord à « prends-moi la bouche, ma chatte est déjà pleine », avec un mec à chaque extrémité. Mais bien entendu rien ne vaut le sandwich de salope, une bonne double, un gros mandrin dans chaque trou et un double-bourrinage en rythme qui la fait glousser de joie. La salope est si pleine quÂ’elle va bientôt déborder, chaque orifice dégoulinant de sperme chaud. CÂ’est bien connu, si les femmes ont deux trous, cÂ’est bien pour quÂ’on y loge deux pines !
Héroïne de cette séquence, une jeune fille au regard bleu angélique, avec une frimousse de teenager américaine sage et souriante, à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession. Et pourtant, on se rend compte rapidement quÂ’elle préfère quÂ’on lui donne des coups de bite sans concession. La fausse ingénue et vraie salope écarte bien grand les cuisses et nous exhibe sa chatte ouverte sans jamais perdre son sourire de demoiselle bien élevée. En revanche, quand son copain commence à lui lécher la foune et le cul, elle ne sourit plus, elle gémit. Ensuite, elle ne peut plus rien faire du tout dÂ’autre que sucer, vu la taille du méga-paf de son mec quÂ’elle pompe et repompe dans toutes les positions. LÂ’énorme mandrin est bien plus gros que la bouche de notre petite étudiante ; on comprend pourquoi quand le mec la retourne et lÂ’embroche sur sa queue dressée, elle en gargouille de plaisir et de douleur à la fois. Mais la cochonne est gourmande et endurante. Elle se fait défoncer la chatte dans toutes les positions à grands coups de reins jusquÂ’à lÂ’explosion de foutre finale qui coule le long de sa petite chatte rose. Que de salopinerie peuvent cacher de grands yeux clairs !
La latina est chaude par nature, mais Victoria est bouillante même pour une latina. Son corps respire la luxure, de ses lèvres épaisses, ses seins lourds aux tétons percés, sa croupe cambrée. Elle a la chatte en feu, Victoria, et se titille le démarreur, une main dans la culotte. Heureusement, deux queutards viennent à son aide au bon moment ; ils nÂ’ont pas besoin de la caresser longtemps pour quÂ’elle leur saute au paf. Elle pompe et branle lÂ’un et lÂ’autre alternativement puis les deux ensemble. Elle va se placer ensuite entre les deux pour profiter du tandem de bites, suçant lÂ’une pendant que lÂ’autre lui tringle la chatte à grands coups de reins. Ils essaient plusieurs positions acrobatiques. Victoria sÂ’en fiche, pourvu quÂ’une grosse pine lui remplisse à la fois la bouche et le con. DÂ’ailleurs quand elle nÂ’a rien dans la bouche elle grogne de plaisir, la cochonita, alors autant la fourrer comme un burrito jusquÂ’à ce que les deux gros pafs lui crachent une giclée bien chaude en guise de desssert !
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