En marchant dans la rue, Jean rencontre Pierre, un beau mec baraqué, qui lui propose de l'accompagner. Sur le chemin de la maison les attend leur copain, Benoît, et tous les trois montent dans l'atelier. Là Pierre sort sa bite et l'offre à Benoît qui l'engloutit dans sa bouche tout en se branlant ! Une fois la queue bien dure Pierre met à Benoît à quatre pattes pour lui marteler le fond de l'anus jusqu'à ce que le sperme coule à flot !
L'air est chaud et humide de désir dans cette scierie rempli de mâle prêt à dégainer leurs forets à la moindre occasion. Ils se toisent, se dévisagent et s'envisagent pour foncer au premier signal ! Un peu comme ce minet... Embusqué la bite à la main, il observe un ouvrier au pantalon trop lâche, ranger des morceaux de bois à quatre pattes. A peine entrevoit-il la raie du jeune homme, que sortant de sa cachette, il lui saute dessus et le tripote sans retenue. Gratifié d'un accueil chaleureux, il s'installe tranquillement sur le dos du collègue toujours à quatre pattes et lui caresse le fion tout en astiquant sa tige bien raide. Le menuisier se retourne alors pour la sucer. Ronde en bouche et juteuse à souhait, cette bite se révèle particulièrement savoureuse. Tandis que ce petit salopard se régale encore et encore,s'attardant tantôt sur le gland, tantôt sur les bourses, son pote est impatient de soulager lui aussi l'irrépressible envie de téter de la quéquette qui le tiraille depuis un moment. On le retrouve donc à genoux, pompant et astiquant la grosse teub du collègue avec une extrême délicatesse. Une fois bien repu de ce chibre, le jeune homme se fera de nouveau sucer avant d'arroser la bouche de son amant de chaudes giclées de foutre. Puis, il le laissera aux bons soins d'une autre de leurs connaissances, un blondinet suceur de queues au corps bien musclé. Après lui avoir défoncé le cul, ce bellâtre ne manquera pas à son tour de couvrir de semence la bouche de notre jeune menuisier décidément très accro au sperme.
Quand on va à la plage entre copains, ce n'Â’est surtout pas pour se prendre la tête, mais plutôt pour se prendre les fesses. Un peu de volley pour s'échauffer les muscles et voilà que nos trois minets délaissent leur ballon pour aller jouer aux boules ! Ca se caresse, ça se lèche les balloches, ça se suce la tige... En somme, ça se fait plaisir ! Et ce n'Â’est pas nous qui nous en plaindrons ! Notez la voracité du petit brun sans casquette. Regardez le dévorer la grosse queue veineuse de son pote ! Pas moyen de la lui faire lâcher. Le troisième gusse est obligé de l'enculer en l'état, car le gars est tellement accro à cette teub qu'il ne daigne pas bouger d'un iota, même pour se fait baiser le cul. Pour le voir enfin lâcher cette superbe bite, il faudra attendre que son propriétaire se décide à la lui mettre dans le fion ! Au bout de quelques minutes, tout le monde ou presque a pris son coup de bite dans la raie. Reste plus qu'à distribuer les giclées de sperme ! Dépêchez-vous, y'en aura pas pour tout le monde !
Depuis qu'ils se sont avoué leur attirance mutuelle, ces deux techniciens passent le plus clair de leur temps de travail à se défoncer les fesses. Aussi chauds soient-ils, ils ne font pas l'impasse sur les préliminaires, d'autant que le plus mince des deux est un sacré suceur de teub spécialisé dans le pompage frénétique et les gorges profondes. Après s'être fait travailler son petit cul qu'il offre sans retenue bien cambré sur le canapé, voilà notre bouffeur de bite prêt à se faire culbuter le trou de balle. Le temps de mettre une capote et son collègue lui fourre le cul jusqu'à la garde avant de labourer sa petite pédale bien gourmande de la raie. Autant dire qu'il va la lui mettre bien profond dans tous les sens avant d'arroser son torse de son sperme chaud.
A peine leur couverture jetée par terre que déjà nos deux militaires s'étreignent fougueusement. Vas y que je te pince les tétons, que je te les bouffe et que je te suce ta grosse bite bien dure ! Voir ces deux beaux minets se manger la queue comme ça, c'est un régal qu'apprécie fortement leur sergent qui les observe caché derrière un buisson en astiquant sa tige longue et épaisse. Maintenant que le brun se fait enculer et branler en même temps, ce petit veinard n'a rien d'autre a faire que kiffer l'instant présent avant de se faire juter à la tronche par son pote sous le chant guilleret des petits oiseaux.
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