On ne s'était pas revu depuis l'âge de 18 ans. On a été mis en contact par l'intermédiaire d'une amie commune que j'avais rencontrée par hasard. Nous avions pris rendez-vous pour déjeuner dans un restaurant. On s'est reconnu et sympathisé tout de suite. Moi, j'ai une femme et un enfant et lui est toujours célibataire. Bien sûr tout le long du déjeuner nous n'avons fait qu'évoquer avec beaucoup de nostalgie les souvenirs de trois ans passés ensemble dans un pensionnat. Le repas était bien arrosé et peu à peu, l'alcool aidant, les souvenirs évoqués étaient de plus en plus coquins. Il faut dire qu'à 18 ans notre préoccupation principale, sinon la seule, était le sexe et qu'à cette époque là le climat strict du pensionnat ne faisait que décupler nos ardeurs juvéniles. Je lui racontais ces nuits chaudes passées dans le lit des copains à regarder à l'aide d'une lampe de poche des photos sexy d'actrices coupées dans les magazine; des nuits où, au comble de l'excitation, on se masturbait à corps perdu. Thierry (c'est le nom de mon copain) me racontait que pour ce genre de pratique il préférait les toilettes ou les douches du pensionnat. En effet je me souvenais du jour où je les ai surpris, lui et deux autres copains, en train de se branler ensemble sous les douches tout en fixant les photos de femmes nues étalées soigneusement par terre. Thierry me racontait qu'il leur arrivait de s'asperger de sperme et même de pipi et qu'à l'époque il trouvait ça très excitant. Il me racontait comment lui et Alain, un autre élève du pensionnat, profitaient de la moindre occasion pour s'enfermer dans les toilettes pour se toucher. "Cet Alain, me disait Thierry, était un cas. Il avait toujours une photo de femme aux seins nus dans sa poche et prêt pour les masturbations à deux ou à plusieurs".
J'écoutais Thierry et une intense excitation me gagnait petit à petit. Je bandais fort et c'était très agréable.
- "Tu n'es jamais allé plus loin dans tes petits jeux avec Alain? Demandais-je à Thierry"
- "Non, pas vraiment, me répondit Thierry. Mais pour être franc je l'ai sucé plusieurs fois. Lui aussi il me suçait" Les yeux de Thierry brillaient, son regard était chargé de désir et je sentais nettement que ça l'excitait beaucoup de me faire ces confidences.
On était tous les deux très excités. Chacune de ses paroles me transportait un peu plus dans l'ambiance du pensionnat. J'ai continué, vicieusement à l'interroger: "Raconte! Comment ça se passait avec Alain".Thierry, continua docilement à raconter: "Tu te rappelles, au pensionnat des mecs se branlaient souvent avec la vaseline ou l'huile solaire; eh bien moi et Alain c'était avec la crème chantilly. On s'achetait un gâteau à la crème chantilly et on s'enfermait dans les toilette. On s'en mettait partout sur la bite puis on se léchait la queue barbouillée de crème à tour de rôle"
Ma queue me faisait mal tellement je bandais. J'ai mis ma main droite dans la poche de mon pantalon pour libérer ma bite en écartant mon caleçon sur le côté. Ce geste n'a pas échappé à Thierry car il m'a avoué que notre conversation l'excitait beaucoup et qu'il bandait .Nous avons réglé la note du restaurant et nous sommes sortis. Ma femme et ma fille étant absents de Lyon, j'ai proposé à Thierry de venir boire un verre chez moi. Pendant tout le trajet notre dialogue continuait et je ne débandais pas.
Thierry s'est installé sur le canapé et je lui ai servi un verre de Whisky que j'ai pris soins de bien remplir. Dans la foulée de souvenirs qu'on se racontait avec maints détails, j'ai fait part à Thierry de mon désir de regarder une cassette vidéo porno. Ce qu'il a accepté avec un intérêt mal dissimulé. Quelques minutes après des images salaces de pipes effrénés, de seins felliniens et de gros sexes érigés, défilaient sur l'écran de la télé. Sans échanger un seul mot nous nous sommes mis à nous masturber mutuellement par dessus nos pantalons. Je n'avais jamais ressenti une telle sensation de sensualité et d'excitation intense. Je le branlais lentement sa queue était longue et grosse et mes doigts tremblants sentaient sa chaleur à travers le tissus du pantalon. Mon coeur battait très fort et mes respiration devenait de plus en plus rapide. je me suis tourné vers Thierry: "On va essayer autre chose ! Viens !" et sans attendre sa réponse je me suis levé pour me mettre le dos contre le mur. Thierry s'est mis en face de moi et s'est rapproché. La bosse de son pantalon était énorme. J'ai avancé la cuisse droite et lui ai fait signe d'avancer. Il a ouvert les jambes pour ensuite serrer ma cuisse entre les siennes. Il suffisait maintenant qu'il avance encore un peu en chevauchant ma jambe pour que les bosses de nos pantalon se touchent. Notre position ressemblait à un lambada au ralenti: on se tortillait dans tous les sens et nos bite se frottaient par dessus nos pantalons. il serrait fort ma jambe entre ses cuisses et ses mouvements de hanches devenaient rapides et même violents. Nous haletions tous les deux. Je l'ai poussé doucement pour me dégager et je me suis retourné, le dos vers Thierry, pour coller mes fesses contre la bosse de son pantalon. Je commençais à rouler les hanches pour sentir sa bite. j'ai passé mes deux mains derrière et les ai posées sur ses fesses pour mieux le serrer contre moi. Lui, de sa main droite il me triturait la queue. Sa bite dure et chaude se calait dans la raie de mes fesses que je bougeais comme une vraie salope. Des gémissements de plaisir commençaient à s'échapper de nos bouches.
Nous avons changé de place et c'était mon tour de me frotter contre ses fesses. Je le branlais en même temps et je peux vous dire que c'est très, très bon ! De temps en temps nos yeux se tournaient vers l'écran de télé pour saisir au passage l'image d'une branlette espagnole, d'une pipe ou d'une éjaculation sur une poitrine opulente. Nous bougions tous les deux sensuellement. J'ai défait sa braguette et sorti sa bite toute dure. Quelle sensation d'empoigner et palper ce beau morceau de chair toute chaude et palpitante. L'excitation me serrait la gorge et j'arrivais à peine à parler. J'ai lancé d'une voix rauque, tremblante et à peine audible:"Frotte la partout sur moi". Joignant le geste à la parole j'ai défait ma chemise et dénudé mes épaules. J'étais assis parterre et lui se trouvait debout derrière moi. Il s'est mis à frotter sa bite contre mon dos, mes épaules et ma nuque. Je bougeais aussi pour mieux sentir le contact de sa bite avec ma peau. Toujours assis par terre, je me suis retourné vers Thierry pour me trouver nez à nez avec son sexe. Il bandait tellement que son sexe courbait vers le haut et se tenait presque verticalement devant mon visage. L'odeur enivrante de son sexe ajoutait à mon excitation. Sans attendre plus longtemps j'ai fourré mon visage entre ses jambes pour frotter ma figure contre sa bite. J'y ai frotté chaque millimètre de ma peau, mes joues, mon front, mon cou....Puis j'ai commencé à la lécher à grands coups de langue sur toute la longueur avant de prendre le gland violacé dans ma bouche. J'ai sucé, léché et embrassé sa bite comme un hystérique, un affamé, une vraie salope. A son tour il s'est baissé pour me sucer avec la même ardeur sinon plus. Au bord de jouissance, nous nous sommes mis debout l'un en face de l'autre et c'est gland contre gland que nous nous sommes branlé et joui.
Depuis cette aventure je profite de la moindre absence de ma femme pour rencontrer Thierry. Nous nous livrons à des jeux pervers. Nous nous excitons en regardant des films ou des revues pornos, et lorsque nous sommes chauffés à blanc nous nous touchons et nous frottons. Une fois il s'est frotté contre mes fesses alors que je portais un collant (Il faut dire que nous sommes tous les deux imberbe et n'avons pratiquement pas de poile sur le corps). Une autre fois, il m'a reçu chez lui habillé de bas résilles et d'une mini-jupe ultra courte en cuir et sans culotte. Nous avons éteint la lumière, mis la musique pour danser un slow inoubliable. Il bandait et sa grosse queue déformait sa mini-jupe. Je frottais ma queue contre la sienne tout en dansant. J'ai retroussé sa mini-jupe et me suis mis à le branler de la main gauche alors que de la main droite je me masturbais. Sentant sa jouissance proche il a repris sa queue dans sa main et s'est branlé vigoureusement. Soudain il s'est mis à tortiller tout son corps et à gémir fort et j'ai senti les jets abondants de sperme s'écraser sur ma cuisse. Je me suis ensuite masturbé avec son sperme..
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