Les sous bois sont souvent plus fréquentés qu'on ne le dit. Les petites promenades bucoliques se transforment souvent en parties de baises effrénées. Il suffit de bien choisir son coin, vérifier quel type de population " s'y promène ".
On a tous un bois gay à côté de chez soi. Le mien se situe en lisière de la forêt de Saint Germain, à côté d'une base de loisirs. Les habitués reconnaîtront.
Ca s'est passé par un après midi de fin d'été. Les bois commençaient à être un peu moins fréquentés, et je tournais déjà depuis quelque temps. Un peu frustré de n'avoir pas levé mon lièvre pour cette fois, je m'apprêtais à regagner ma voiture. J'étais presque arrivé quand j'ai croisé un magnifique rouquin. La vingtaine, très bien foutu, dans les 1m85 qui apparemment venait d'arriver. Nos regards se sont croisés, et mon cœur s'est remis à battre la chamade. J'ai immédiatement décidé de le suivre. Seulement voilà, ce jeune homme avait plutôt l'allure rapide, et il fallait que je trottine derrière lui.
A cet endroit, il y a pas mal de fourrés et des petits chemins se croisent en permanence. J'avais qu'une envie c'est que ce jeune homme s'arrête pour qu'on puisse enfin baiser et se sucer la bite. Mais notre petit chemin en à croisé un autre, et un monsieur d'un certain âge, pour être poli qui cherchait la sodomie et les grosses bites, m'est alors passé devant et m'a dit : " laisse le moi je vais lui demander de me sucer ". Véridique. J'étais tellement interloqué par tellement de présomption que je me suis arrêté net. Quand j'ai repris mes esprits ils étaient déjà hors de mon champs de vision, cachés par la verdure. Je me suis alors mis à la recherche du petit mec, tellement sûr que le grassouillet n'avait de toute façon aucune chance.
Au détour d'un fourré, qu'est ce que je vois ? et bien le petit rouquin en train de sucer l'autre ! je me suis arrêté pour regarder un peu, plus intéressé naturellement par le rouquin que par l'autre. Mais apparemment ce monsieur était partageur, car il m'a fait signe d'approcher. Ce que j'ai fait naturellement. Je me suis posté derrière le rouquin, toujours en train de sucer le vieux. J'ai commencé à baisser sa braguette. Il a alors relevé son postérieur (il était accroupis) pour que j'accède à sa bite plus facilement. Il était raide.
J'ai commencé à le branler doucement, et le vieux m'a dit : " vas y encule-le ". J'étais toujours un peu surpris, et en moi je me disais " c'est pas possible le rouquin va réagir ". J'ai quand même baissé son pantalon, son caleçon et j'ai commencé à lui caresser la rondelle. Voyant qu'il n'y avait pas de réaction négative, j'ai sorti une capote, lui ai lubrifié la rosette, et me suis présenté à l'entrée. La seule réaction qu'il a eu a été de vérifier que j'avais bien mis un préservatif (il me tournait toujours le dos, et continuait à sucer le vieux). Je l'ai alors empalé doucement. C'est la première fois que je l'entendais gémir ! j'ai alors accentué mes vas et viens. Le vieux ça devait être trop pour lui, car il a jouit assez rapidement, a relevé son pantalon et est parti, me laissant seul. J'ai continué mes coups de boutoir. Il avait toujours le cul relevé et la tête vers le bas. Je lui ai enlevé son Tshirt. Il était ferme et bien musclé, et je l'entendais gémir de plus en plus.
Et puis comme on était pas très caché, il y a eu un jeune mec qui passait par là. Naturellement il s'est arrêté pour regarder ! cette fois ci c'est moi qui lui ai fait signe de s'approcher. Il a baisser sa braguette pour laisser son gourdin apparaître, et le rouquin s'est empressé de le sucer. Ca faisait un sacré trio…. On a tous jouit en même temps dans un râle collectif. C'était très bon et très excitant.
Le rouquin s'est rhabillé sans un mot et est parti dans un flash. Cela a rajouté au mystère du rouquin, et même maintenant cela reste un fantasme assez excitant. Je me suis toujours demandé quel genre de type cela devait être dans la vie de tout les jours, avec sa gueule d'ange il aurait pu se faire des plans avec des top modèles. Au lieu de ça, et bien il avait démarré avec un vieux sans charme, et c'était laissé faire sans un mot. Peut-être que c'était ça son délire.
Je suis sûr que mon petit chaperon rouquin traîne encore dans les bois avec d'autres jeunes gays, mais je ne l'ai jamais plus croisé. Si jamais tu te reconnais, et bien laisse un mot au webmaster, j'aimerais bien pour une fois te parler, et naturellement réexplorer ton cul !