Un peu seul, je cherche sur un site gay quel petit passif je pourrai me mettre sous la dent. Je passe sur les nombreux fantasmeurs, et tombe en arrêt sur la photo de Mathias. Un visage fin, aux cheveux longs, au sourire craquant. Math est, selon sa pa, très très passif, mais pas inactif!
Après quelques contacts par mails, le grand jour approche: j'invite Math à déjeuner. Petite bouffe sympa, en tête à tête. Math émane une féminité, une passivité qui se renifle à 15 kilomètres. C'est une belle plante toute fine, bien plus grand que moi, tout longiligne, et son visage est encore plus fin que sur la photo.Ses mains sont aussi très excitantes: des mains fines et bronzées, que j'imagine déjà prendre possession de l'intérieur de mon slip.
Mathias me trouve également très à son goût, mais me dit avoir peur des rencontres trop rapides. "Qu'à cela ne tienne, nous avons toute la vie pour nous apprécier!" Math a l'air convaincu.
En sortant du restau, je suis Math en admirant sa démarche féminine, qui part de ses chevilles pour remonter à ses hanches, une ondulation superbe! Que de regards sur sa croupe dans la rue, et autant de regards sur moi qui veulent dire:"Toi, mon salaud, tu vas pas tarder à te l'enfiler cette grande femelle!"
Math a pris son après midi, aussi, je l'emmène en balade en bagnole. Je commence par serrer sa main toute fine. Math est gêné, il a la main moite, et me dit dans un demi soupir que chez lui ça veut dire quelque chose!
Ni une ni deux, je cherche un stationnement en campagne. Math me regarde de ses yeux de braise, et attend de voir. J'approche délicatement mes lèvres, et, gardant les yeux ouverts, j'embrasse mon nouveau copain à pleine bouche. L'amour répond à mes coups de langue, et je peux voir que ses yeux à lui sont fermés, en signe d'abandon.
Les politesses ayant assez duré, je nous amène tout droit chez moi, et une fois la porte fermée, je prétexte un voisin trop curieux derrière le mur du séjour pour diriger ma conquète vers ma chambre.
J'enlace Mathias avec douceur, il vient se coller à moi, et nous nous carressons ainsi quelques minutes, les visages brûlants d'envie, Mathias complètement sous le charme, conquis par ma virilité.
Je dépose Mathias sur le lit (s'il est plus grand que moi, il n'a presque pas de muscles, tandis que je suis plutôt du genre balèze, vraiment bien musclé et proportionné). Le porter est un délice, je sens ses longs cheveux sur mon épaule, ses bras fins et doux autour de mon cou.
Je couche Math sur le dos, il me dit alors:"Non chéri, pas la première fois! C'est trop rapide!".
Le petit salaud, me dis-je, il m'allume carrément pour me sortir ça maintenant? Je réponds que bien sûr, je respecte son désir, que je ne veux en aucun cas abuser de lui, etc, etc.
Puis, je me couche sur lui, mon sexe sur le sien, mon jean cachant mal mon érection. Math, quant à lui, porte un pantalon en lin très fin, un vêtement très féminin, tenue autour de sa taille fine par un lacet.
J'embrasse Math de plus belle, tenant ses joues dans la paume de mes mains, puis...je descend. Ma main gauche vient carresser, puis pétrir sa hanche, ma main droite carresse son sein, puis passe sous son chemisier. Hmmmmmmm! Ca faisait longtemps que je n'avais pas tenu un garçon aussi somptueusement passif que celui là! Même sa voix est un appel à la fornication, une voix de femelle qui vous retourne les sens. Je sens alors que ma bite n'est plus seule dans cet état, ma conquète bande aussi. Oh, ce n'est pas une bosse énorme que je perçois, plutôt un mouvement contre mon sexe. Je carresse alors, et découvre à travers le lin une petite bite bien fine, et je plonge ma main à sa rencontre. Ma chérie est gênée d'être contredite par son érection. "Finalement, t'as bien envie toi aussi!" Je déshabille Math doucement, collant mes lèvres au siennes, qu'il reste surtout en confiance. Mathias nue, je me couche entièrement vêtu sur lui. J'aime bien que le passif sente le contact de mes vêtements sur son corps dénudé: je trouve que cela lui donne vraiment un rôle plus féminin encore. Puis Math me demande de me dévêtir aussi. C'est fait relativement vite, crois moi,...une capote autour du mandrin, un coup de gel sur l'histoire, et me voilà allongé sur le dos, et ma belle qui vient poser sa croupe sur ma teub. Mathias se penche en avant, met son anus bien dans l'axe de mon manche, et se pose sur moi. Je vois tout de lui, son corps lisse, imberbe, sans muscle et tout fin, ses bras longs et minces, son visage entouré de ses longs cheveux blonds, ses jambes aux cuisses toutes étroites contre mes muscles durs, et je pose mes bras musclés sur ses hanches frêles. Math descend sur moi, un sourire de contentement merveilleux aux lèvres. Alors, je sens mon gland qui tout à coup passe la barrière souple de son sphincter, je sens sa gaine d'amour qui réchauffe ma bite, puis je sens le petit cul de Math sur mes cuisses.
Ca y est, il est désormais bien à moi, j'ai planté mon sexe dans son ventre, je suis bien son mâle, il est bien ma femelle. Je l'ai ramoné très longtemps, près d'une heure, me retenant toujours de jouir, je l'ai pris dans bien des positions, puis, c'est couché sur lui, mon sexe planté dans son cul, au fond de son ventre, que j'ai joui brutalement en l'embrassant. Math était heureux, et moi, j'étais devenu son homme. J'avais un rendez vous professionnel en ville à 16heures. Je dépose Math près de la rue commercante, lui demandant d'être à nouveau là une heure plus tard. Mon affaire a été réglée rapidos, puis, j'ai retrouvé ma chérie rayonnante, le cul bien perforé par mes soins, sa démarche encore plus effeminée qu'au repas. Nous avons refait l'amour, j'ai replongé ma queue dans son corps avec le même délice. C'est fou ce qu'il a le cul chaud ce mec, un vrai four! J'ai pénétré ma chérie avec fougue, butant à la barrière de mes couilles, Mathias me griffant le dos, moi l'embrassant sans cesse, caressant sa petite queue fine, flattant se petites boules, triturant ses fesses, pliant son corps souple sous la nervosité de mes muscles. J'ai ramoné Mathias encore et encore, puis j'ai encore joui en lui, il acceptait de recevoir ma semence à travers la kpote bien sûr. Puis, nous nous sommes carressés, et Math devait repartir vers la ville voisine, retrouver sa mère et sa soeur. Je l'ai redéposé chez lui. Il n'avait cessé de me caresser les cuisses et le sexe pendant les 40 km du voyage, heureux et comblé des coups que ma queue lui avait donné. Il m'a alors parlé de mon sexe en lui !!! Pour lui, son cul, c'était l'organe qui lui sert à avoir des relations sexuelles, son trou d'amour comme il disait ! Oui, Mathias était bien devenue ma grande chérie, une chérie à laquelle je pense encore !