Phili2) Mickael et Jonathan : le ptit colporteur
Le temps est beau et ce matin de juillet offre toute la promesse d'un été éclatant. Comme d'habitude, je viens juste de me réveiller, il est à peine 11 heures du mat. Je ne suis pas un loir, mais je bosse la nuit alors le matin, je dors. Aujourd'hui, je n'ai rien à faire et ça tombe bien, je m'affale sur le canapé et j'allume la télé. Les programmes du matin sont pauvres, mais franchement je m'en fous.

Un bruit soudain me renvoie à la réalité quelqu'un est à la porte de la véranda et vient de frapper. Ce n'est pas le facteur, trop tôt, ni mon frère, il ne frappe pas et les voisins, eux sont en vacances. Je sors ma tête de la véranda et aperçois un jeune homme.

- Bonjour.

- Bonjour, excusez-moi de vous déranger, voilà je suis un jeune de Thonon et après un apprentissage, mes amis et moi nous voulons ouvrir une entreprise.

C'est un colporteur.

- Nous avons fait des démarches dans plusieurs banques, mais vous le savez quand on à 20 ans et que l'on demande de l'argent, on nous prend pour des rigolos. Voilà je propose, afin de récolter 50 000 francs nécessaires pour ouvrir tout commerce, des sets de table en liège.

Je vous les montre, en liège traité pour ne pas qu'ils se salissent, souples grâce à un traitement spécial. De plus chaque set est orné d'un dessin, qui provient d'une gravure de la région. Le tout imprimé grâce au système de feuille de soie.

Plus il parle, plus je l'observe, il fait très méditerranéen, visage fin et doré par le soleil. Les cheveux courts en brosse, impeccablement soignés, surmontés d'une paire de lunettes dernier cri. Des yeux marron accompagnent des sourcils épais qui lui donnent un air ténébreux, mais la douceur de sa bouche et son sourire le rend beau.

Il continue de parler.

- Vous vous doutez que je suis là pour les vendre, le prix est de 2 pour 100 francs, ou si vous voulez, on a une pochette de six sets plus des reposes verres pour 290 francs, je vous fais voir le papier de la régie du commerce prouvant mes propos sur l'entreprise. Alors vous êtes intéressé ?

Franchement ça me fait chier, mais il a un tel bagout, que je vais lui prendre 2 sets, il me regarde avec ses grands yeux, implorant de la pitié.

- Okai je t'en prends 2.

- 2 pochettes.

- Non t'es fou 2 sets.

- Écouter, je ne vais pas vous mentir, voilà vos deux voisines mon pris chacune une pochette, j'en avais trois et celle-là est la dernière. Si je la vends, je pourrais faire une pause. C'est vraiment intéressant, c'est pour une société, vous verrez dans quelque temps, vous allez recevoir des prospectus et vous pourrez venir nous voir. Je ne veux pas vous forcer si vous n'avez pas les moyens, mais faites un geste.

Après tout, je n'ai pas de set de table et si c'est pour une bonne cause, pourquoi pas ?

Je lui demande si un chèque ne le gêne pas. Pas de problème. Une fois le choix des produits fait, il commence à entamer la conversation.

- En fait, je m'appelle Michael.

Ça lui va comme un gant, "moi c'est Jonathan".

- J'ai vu que tu as une table de ping-pong, tu sais, je fais des tournois, tu joues bien.

- Ben moyennement, en plus ca fait hyper longtemps que je n'ai pas joué, mais je me débrouille.

- On peut faire quelques balles si tu veux.

- Pas de problème.

Je cours chercher les raquettes et on entame des échauffements. C'est vrai, il joue super bien, c'est un attaquant. Moi je défends toujours et je joue pratiquement qu'en revers.

- Tu sais, je connais 17 services différents.

Les balles fusent, mais je n'ai pas trop de mal à lui renvoyer. Il se donne à fond, et chacun de ses mouvements m'excite. J'observe son corps en mouvement, tous les efforts de ses muscles, la rapidité de ses réflexes. Je me perds dans cette contemplation faisant fi du jeu en cours.

Il smash et me regarde avec un air malicieux, fier comme un coq de sa balle. Je lui réponds en faisant mine d'être dépité.

En vérité je me contente de renvoyer la balle et de l'observer. Parfois même, j'envoie la balle loin, afin qu'il se baisse pour la ramasser. Je me délecte à voir ses fesses, sûrement musclées, moulées dans son jean, dans cette position accroupie.

Michael est en sueur, c'est vrai, il n'arrête pas de courir le pauvre, vraiment je suis maladroit. Il regarde sa montre et m'informe qu'il faut repartir bosser.

Dommage.

- Si tu veux, ce soir je passe et on fait une partie.

- Alors là, Michael, aucun problème.

- Okai, alors à ce soir.

Mon Michael est parti et je cours au WC afin de repenser à lui avec toute la longueur de mon sexe gonflé. Son visage est gravé dans mon esprit et son effet est immédiat. Plusieurs jets de sperme fusent dans la petite pièce, mon corps se cambre de plaisir et arrive en moi un petit air. C'est une chanson qui prend soudain forme dans mon esprit si fertile de fantasmes. "Michael est de retour…". C'est Michel Blanc qui joue cet air à l'harmonica dans "Les bronzés". Cet air obsédant me suit dans toutes mes activités journalières, l'image de l'élue est toujours formée dans le fond de ma rétine. Et son sourire illumine mon cœur et mon esprit.

Si je tente quelque chose avec lui, une approche. Bon je pense qu'il faut laisser faire et aussi que Michael n'est pas indifférent à moi.

Enfin la fin d'après-midi approche et comme prévu Michael est de retour. Bien sûr, je me suis changé. Déjà je suis torse nu et en plus j'ai mis un caleçon et un short de coton gris. Si avec ça, il ne remarque pas qu'il me plaît.

Je lui offre un coup à boire avant la partie. On commence à jouer et la table est située en plein soleil, Michael domine le débat. Il est rapide et chacun de ses coups est instinctif. Toute cette fougue ne l'épargne pas et la sueur commence à ruisseler sur son visage d'ange. Comme j'aimerais être cette goutte qui lui effleure la lèvre ! .

Michael aime mon jeu et me félicite pour mes retours toujours bien placés, j'aime l'idée qu'il voit mon sexe se débattre dans mon short à chaque coup. Moi-même je sens le balancement entre mes jambes. Bien sûr, je regarde plus souvent Michael que la balle. Lui, il est entièrement dans le jeu et tape des smashs d'enfer. Après sa victoire, le visage défait par la sueur, il me regarde d'un air vainqueur.

- Excuse-moi de t'avoir battu. Tu sais ce que je veux comme prix de la victoire, simplement une douche. Parce que là, franchement je coule de partout.

Quoi tu veux te mettre nu chez moi et frotter ton corps sous ma douche, je ne demande que ca. Bon je délire, il veut seulement se laver et dans l'état où il est, je le comprends.

- Pas de problème, viens, je te fais voir où est la salle de bain.

Michael rentre et ferme la porte, l'oreille collée à la porte, je l'entends se déshabiller. Mon imagination, elle le voit complètement nu. Je file directement au WC, non pas pour pratiquer de nouveau un cinq contre un, mais vu que la pièce est attenante à la douche c'est l'endroit idéal.

L'eau se met à couler, le bruit du corps de Michael se fait ressentir par des clapotis différents. Il chante, je le vois se caressant les parties génitales les mains pleines de mousse, son gland, gonflé par ses mouvements, ressort de sa main écarlate. Pendant un quart d'heure, Michael se savonne, enfin l'eau est coupée. Plus un bruit. Que fait-il ? ?

- Jonathan !

Que veut-il ? Sachant que je suis déjà derrière la porte, j'attends avant de donner une réponse.

- Oui, Michael, y a un problème ?

- Non, mais je n'ai pas de serviettes, c'est tout.

- Désolé, je peux rentrer ?

- Oui, j'ai mis ton peignoir en attendant.

Putain je ne le lave plus celui-là. Il est nu sous mon peignoir. J'ouvre la porte, un nuage de buée s'échappe de la pièce. Michael trône au milieu affublé de mon peignoir bleu, les cheveux et le visage complètement mouillé, mais cette fois ce n'est pas de sueur.

- Désolé.

Je me baisse afin d'ouvrir le placard situé sous le lavabo. Mon regard fixe le bas des jambes de Michael, quand soudain tombe sur ses pieds le peignoir bleu. Michael est nu, je prends une grande inspiration.

- Une petite, je m'en fous.

Une petite quoi ? Serviette. Ah oui ! Bon je garde mon contrôle et je lui passe. Je souris, un peu crispé, mon regard fixe épie chaque centimètre de sa peau au moment où je me relève.

Sa queue furtive, une touffe de poils, des muscles, l'ensemble est impressionnant.

Une fois debout, je le regarde fébrilement dans les yeux, il sourit et me dit :

- Je peux avoir la serviette ?

Je lui tends, je sens un nœud dans ma gorge. Sa main s'approche et me saisit le bras, il m'attire vers lui et m'enlace. Serré contre son corps, je me laisse envahir par le parfum délicat de sa peau. Je sens son souffle sur mon visage. Sa bouche effleure mes lèvres, puis sa langue s'introduit délicatement, elle s'active en moi et me libère complètement.

- Tu sais que tu es vraiment excitant dans ton short.

Je n'avais pas remarqué, mais une impressionnante érection tendait la toile depuis le départ. Je comprends maintenant qu'il a compris que je le désirais. Il m'embrasse de nouveau. Une de mes mains lui caresse la nuque, tandis que l'autre contemple les formes avantageuses de ses parties charnues. Ses cheveux si courts m'excitent, un frisson de plaisir parcours mon corps. Je suis entièrement à lui.

Je veux rester contre lui pour la vie, malheureusement il me libère de son emprise. En prenant du recul, j'ai tout le temps de mater. Mon imagination ne m'a pas trompé, le corps athlétique de Michael me coupe le souffle. Il est bronzé sur tout le corps sauf au niveau du maillot. Il a des épaules très carrées et la largeur de ses bras est impressionnante. Il est imberbe, ses abdominaux ressortent surmontés par des pecs puissants. Mon regard se bloque sur ses parties génitales, son sexe pend allongé couvrant ses couilles, son gland est décalotté. Même s'il ne bande pas, son pénis est gonflé et je sens qu'un seul effleurement peut le faire exploser.

Il me prend la main et je conduis ma proie, nu comme un ver, vers ma chambre. La puissance de son aura emplie l'endroit et il me jette sur le lit. Je ferme les yeux, lui, rampe sur mon corps et son sexe tape sur chacune de mes parties. Il m'embrasse la poitrine, le nombril et le pubis.

Je suis chaud, des frissons parcours mon corps, son sexe chaud touche ma peau. Il caresse mon épiderme, chacun de mes poils se dresse et mes muscles se contractent. Michael est un ange, il s'occupe de moi avec beaucoup de tendresse. Pour lui les préliminaires semblent importants, il connaît toutes les parties sensibles du corps. Ses doigts roulent autour de mes tétons puis frôlent mon visage. Il me couvre de baiser et ses lèvres sont si douces que je gémis à chaque fois qu'elles me touchent. Moi, je n'ai que pour réaction que de le caresser sur le dos et les fesses, elles sont si musclées, mon Dieu.

Après une demi-heure de caresses, enfin Michael libère mon sexe de mon short, je l'aide. Mon sexe frappe le long de mes abdos, il le prend en mains et le malaxe doucement. Mes mains se crispent sur ses parties charnues, puis glissent le long de son dos. Quant il commence, ça descend vers mon paradis. C'est un expert, il prend la base de mon sexe dans sa main puis frotte mon gland gonflé contre ses dents si blanches, le contraste et la sensation de cette manipulation me fait exploser immédiatement.

Michael laisse les jets de spermes s'écraser sur mon torse, mais le jeu n'est pas fini. Il prend un préservatif et l'applique habilement sur lui. Il se met à étaler ma divine substance avec son sexe. Je le vois de près en érection pour la première fois, son membre est divin et puissant, il est long, large et d'une teinte exquise, sa peau est fine et tendre. Sa tige est bien délimitée par le renflement de la base de son gland, lui aussi est large et la muqueuse est tirée au maximum.

Il me demande de me mettre à quatre pattes, sitôt dit, sitôt fait. Michael humecte mon bouton rose de sa langue. Le bout virevolte sur les sillons de mon anus. L'opération est très stimulante pour moi, mais lui, a le sexe qui a légèrement dégorgé. Pas de problème, d'un mouvement rapide, il place sa bite devant ma bouche, quelle odeur. J'ai l'impression qu'il est encore plus gros maintenant. Sans attendre, j'entoure son gland avec mes lèvres, il remplit ma bouche à lui seul. Pendant que je m'active en malaxant ses testicules, lui n'est pas en reste outre ses mouvements de bassins, il m'introduit ses doigts dans l'anus.

Son sexe à nouveau dur, Michael va s'affairer en moi. J'attends impatiemment le moment et il me surprend. Il se met debout derrière moi puis s'accroupit légèrement. Il place son sexe face à mon trou qui languit de l'attendre et enfin il arrive.

Michael est toujours aussi délicat, il s'insinue délicatement, son gland est posé sur mon bouton et la pression commence. Je sens mon anus s'élargir devant le gland de mon prédateur. La douleur apparaît, c'est rare que j'aie mal mais là, son énorme gland à dû mal à me pénétrer. Michael m'attrape les épaules, le dos droit comme un I. Il tire légèrement sur ses bras afin de contrôler la vitesse de ma sodomisation, ainsi il diminue la douleur. Je me retourne et le regarde dans les yeux, il est beau, de la sueur coule le long de son visage et il se lèche les lèvres avec un air de gourmandise.

- Ça va ?

- Pas de problème ne t'inquiète pas, c'est que c'est rare de rencontrer un membre comme le tien.

- Encore quelle seconde et je serais entièrement en toi.

Je sens son sexe glisser le long de mon rectum, mon anus s'élargit encore, putain, sa tige n'a pas de fin. Enfin je sens la butée de ses couilles sur mon cul, dans cette position, Michael utilise la pleine puissance de son membre. Une fois habitué, son sexe se love en moi, et lui telle une machine, avec un piston puissant commence son mouvement de va-et-vient. Maintenant ses mains sont sur mes hanches et ses mouvements sont puissants et rapides. Je l'entends derrière moi, râlant et soufflant sous le poids de ses efforts. Ils ne sont pas vains car je sens ma tête tournée et je suis pris de nausées, de sueur Je ressens mon corps en moi qui réagit au plaisir. Mon sexe est gonflé au maximum de nouveau. Michael continue ses coups de pistons. Dans cette position, il y aurait longtemps que j'aurais eu des crampes, mais lui, avec son allure sportive et ses muscles des cuisses, a une résistance inimaginable. De nouveau je le regarde, son visage est irradié du bonheur qu'il me donne. Son torse bondé par les mouvements répétés est couvert de sueur.

Michael me donne un ultime coup de boutoir plus profond que les autres, son corps est tétanisé. Sa chaleur m'envahit, son sexe gonfle encore en moi, crachant son venin dans le réservoir de son préservatif.

Son corps s'abat sur mon dos, collant de sueur. Son sexe, lui toujours en moi, se ramollit et se rétracte. Enfin Michael sort de moi, je m'allonge pendant qu'il défait son préservatif. Me montrant, fier comme pas un, la quantité aberrante de spermes qu'il a éjaculé.

Je m'installe sur le lit un coussin calé dans mon dos, observant son corps, ses mouvements et son regard. Il avance sur les genoux vers ma direction, longue mon corps puis se bloque sur le haut de mes cuisses. Michael prend à nouveau un préservatif mais cette fois, il me l'applique. Il reprend sa progression toujours sur les genoux, cette fois il s'arrête au niveau de mes aisselles. Il prend mon membre à pleine main et s'assoit sur mon sexe, cette fois c'est moi qui progresse en lui. Le bonheur dans cette position, c'est que je peux contempler mon amant de bas en haut. Je le vois frémir et onduler sous mes coups de boutoirs. Ses mouvements de bassin me font venir plutôt que prévu, mon corps jouissant soulève Michael pendant l'extase. Il s'écroule à mes cotés un sourire gravé sur son visage. Son corps dégouline, il est soudain pris d'un rire incontrôlable.

- Qu'est-ce qui t'arrive ? ?

- Je voulais seulement savoir si je… peux prendre une douche, tu comprends dans l'état où je suis.

Pas de problème, mais cette fois je ne manque pas d'aller directement avec lui sous le jet d'eau, frottant son corps avec le mien et le couvrant de baisers.

Michael est reparti le soir même, parfois il revient et souvent en l'attendant je ne peux m'empecher de repenser à nos parties les plus chaudes.

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